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Leur technique de combat, reprise par les guerriers arabes et berbères, était remarquable : une succession rapide et renouvelée d’attaques et de replis.

 

Fantasia (du latin « divertissement »), vient du nom donné par erreur au baroud « jeu de la poudre» par le peintre français Eugène Delacroix qui fut le premier à la représenter en

peinture au début du XIXe siècle. Le terme est resté.

 

Composante du patrimoine culturel marocain, elle est pratiquée de nos jours pour fêter les moussems (célébration d’un saint, fêtes des semailles, de la moisson).

 

Mais c'est Chez Ali, que vous pouvez voir tous les soirs une représentation nocturne de ces barouds d'antan. Des cavaliers, dans leurs costumes d'apparat blancs, sur leurs chevaux aux harnachements somptueux, rejouent pour vous les rites d'alors.

 

 

La fantasia, une tradition équestre

 

 

Ou comment nous avons recréé la splendeur des cavaliers et de leurs chevaux arabes lors de leurs épopées millénaires.

 

Tout commença il y a quelques milliers d'années...

 

Par une rencontre, celle du barbe, ce cheval arabe, rapide et robuste, avec

des hommes fiers, cavaliers et combattants émérites qui repoussèrent au fil

des siècles de nombreux envahisseurs.

 

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